Investir dans l'art contemporain

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Pour investir ? Il faut souvent avoir le nez creux mais pas forcément l’œil averti. Cryptos, actions ou matières premières, les investissements les plus rentables sont parfois même des produits qu’on ne voudrait même pas voir en peinture.

Il était peut-être temps que ça change… grâce à Matis, notre sponsor du jour, qui réinvente l’investissement dans les œuvres de maîtres.

Et vous allez voir : dans un portefeuille d’investissement, l’art contemporain, c’est loin de compter pour rien 📈

Notre Spounsor du jour : Matis

On écrit Spoune avec le 🧡, mais on ne vit pas seulement d’amour et d’eau fraîche.

Il n’y a pas que pour les spectateurs que l’art contemporain peut être difficile à comprendre : pour les investisseurs aussi. Marchands d’art, galeries, maisons de vente… Vraiment pas facile pour le néophyte de se frayer un chemin jusqu’aux belles œuvres… et encore moins de pouvoir y investir. Grâce au système d’investissement collectif des club deals, Matis réinvente le marché de l’art et vous donne accès aux œuvres de maître à partir de 20 000 euros avec, depuis mai 2023, une performance nette investisseur moyenne de 18,1 %*. Bref, ils font un vrai travail d’artiste, à découvrir ici.Attention, ces performances passées ne présagent pas des performances futures ; par ailleurs, l’art est un actif non coté qui présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.

Quoi Spoune ? Investir dans Warhol plutôt que dans le pétrole ?
Un investisseur dans le contemporain, c’est un investisseur content (tout court) 😊 La preuve en chiffres : sur les 25 dernières années, le secteur de l’art a cru plus vite que la bourse US…

En 20 ans, le produit des ventes du secteur de l’art contemporain est passé de 90 millions de dollars à… wait for it… wait for it… plus de 2 milliards.

Une croissance dingue portée par plusieurs facteurs :

Wow Spoune, les artistes seraient donc les rois du pré-roll ?

Eh bien pas exactement. Qu’on soit team artiste ou investisseur, les chiffres globaux sont évidemment victimes du piège de la moyenne. Mais si, vous connaissez l’histoire ?

1. Bill Gates entre dans un bar.
2. D’un seul coup, tous les gens à l’intérieur du bar deviennent millionnaires.
3. Millionnaire ? Oui, enfin, en moyenne…

Un rappel bref mais toujours utile pour se dire que les moyennes cachent toujours de grandes disparités individuelles… et le marché de l’art contemporain n’y échappe pas :

• Plus de 90 % des œuvres s’adjugent à moins de 50 000 dollars
• Près de 60 % de la valeur du marché repose sur 1 % des ventes : celles des œuvres des artistes les plus cotés.

Alors après les milliardaires, les milliard’art ?

Milliardaire, peut-être pas. Mais les records sont faits pour être battus, et là encore, le secteur de l’art n’y échappe pas. La preuve avec les plus grosses ventes de l’histoire de l’art contemporain :

• 195 millions de $ : c’est le prix de Shot sage blue Marilyn d’Andy Warhol, l’œuvre la plus chère d’un artiste du XXe siècle.
• 96 millions de $ : c’est le prix d’un lapin de Jeff Koons, qui a fait de lui l’artiste plasticien vivant le plus cher.
• 69,3 millions de $ : c’est le prix du NFT de Beeple vendu chez Christie’s en 2021 (pour une mise à prix de… 100 $) et qui l’a propulsé au 3e rang des plasticiens vivant les plus chers.

Mais NFT rime avec volatilité… Et en matière d’art contemporain, comme avec les chasseurs, toute la difficulté réside à faire la différence entre les bons et les mauvais…

Mais oui Spoune, le bon art, c’est Bonnard ?

Certes, les impressionnistes (comme Pierre Bonnard, bien sûr) sont des valeurs sûres. Dans le marché de l’art comme dans pas mal de secteurs (notamment : le choix du resto), il fait toujours bon de se rappeler de la loi de Lindy. Ce que ça dit ?

“Plus un truc est connu depuis longtemps, plus il restera connu longtemps”

Alors le meilleur critère pour sélectionner un artiste vivant dans lequel investir… c’est l’ancienneté de sa notoriété. Plus un artiste est reconnu dans la durée, plus il sera aussi reconnu par les musées et les galeries – ce qui est aussi un gage de stabilité.

Dans le milieu, on appelle même ces artistes les “blue chip” : des artistes qui ont profondément marqué l’histoire de l’art. Compte tenu de leur célébrité, la demande de leurs œuvres augmente, l’offre s’amenuise et, via l’effet de rareté, les prix grimpent 🪄

Bah okay Spoune, mais dans le genre serpent qui se mord la queue…

Les meilleurs artistes sont forcément les plus chers… et donc les moins accessibles, non ?

Eh bien, ça c’était avant que Matis ne révolutionne l’accès à l’investissement artistique grâce au principe des “club deals”. Le principe ? C’est comme du crowdfunding, mais pour un investissement. À partir de 20 000 euros, vous accédez, grâce à la force du collectif, à des investissements dans des œuvres d’Andy Warhol, Yves Klein ou Pierre Soulages. Bon, alors bien sûr, vous n’allez pas pouvoir les accrocher à votre mur. Mais au moins, ce sont de belles opportunités d’investissement.

Car l’expertise de Matis, elle est justement là : plutôt que de parier sur l’augmentation future de la valeur de l’œuvre (ce qui serait de la spéculation), ils dénichent des pièces sous-pricées… pour les revendre ensuite au prix juste via des marchands et galeries d’art.

Et ça marche ! Les chiffres sont parlants : depuis mai 2023 et en 32 investissements, Matis a délivré une performance nette investisseur (soit le montant net que vous touchez, net de tout frais)* moyenne de 18,1 % sur une durée de 6,4 mois en moyenne.

Même si là, il faut rappeler deux principes très importants :

• Les performances passées ne présagent jamais des performances futures.
• L’investissement dans des actifs non cotés comme l’art présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.

Matisse (le peintre) disait qu’ “il y a des fleurs partout pour qui veut bien les voir”. Pour les opportunités dans l’art contemporain ? C’est un peu pareil, mais disons qu’elles sont plus faciles à voir avec Matis 😎

Une opportunité très carrée

Le prochain club deal proposé par Matis ? C’est tout simplement l'un des peintres abstraits les plus influents du XXe siècle. Son nom ? Josef Albers, peintre moderniste allemand et membre du Bauhaus, l’école d’architecture et d’arts appliqués qui posa les fondations du design moderne. Pour découvrir son travail et peut-être investir, créez votre profil sur Matis juste là. Eh oui, grâce à Matis, on peut aussi investir tout en se cultivant – et ça se passe ici.